actualités mondiales

kèn 7sèb hèdhè ... pluuuuuuus que 100 000 (presque le sud lkoll !!) .. aka3lèch

ya Wiss, ma tansech el eswe9 mte3 tounes wel jem w sfax w gabes w sou9 libya mte3 el mahdia werra7alet l'Lybia w les transporteurs w les trafiquants wel mazzou6 w w w . ken he4om ma yjiwech 100000?

Ti lè .. 9otlk aktharrrrrrrr b barcha mén 100 000

Wissem a écrit:

Ti lè .. 9otlk aktharrrrrrrr b barcha mén 100 000

eyh eni chehed

ena lyoum un de mes profs 9al elli la restriction hedhi ne sera pas appliquée aux tunisiens finalement! je sais pas si c'est vrai mais c'est ce qu'il a di cet aprem

Rabat : un suicide collectif évité de justesse

Des malvoyants chômeurs ont tenté de se suicider, mercredi 31 janvier, à Rabat. La tentative a été avortée par les autorités locales, mais ils menacent de recommencer.

Un emploi ou le suicide. Après la tentative de six chômeurs du « groupe des détenteurs des lettres royales » de se brûler vifs, en décembre 2005, une seconde tentative du même genre a été évitée de justesse. Mercredi matin, sur la place de Mellilia à Rabat, une centaine de malvoyants diplômés chômeurs ont été interceptés par les autorités de la ville, alors qu’ils comptaient se donner la mort. «Nous avons pris la décision de nous suicider devant le Conseil consultatif des droits de l’Homme, mais les agents de la police nous ont interceptés et nous ont encerclés de tous les côtés», raconte Abderrahman Arban, porte-parole de ce groupe de malvoyants diplômés chômeurs. Les protestataires ont été transférés vers un autre endroit pour éviter le pire. Ce collectif menaçait de s’immoler par le feu et d’ingurgiter des produits toxiques pour se donner la mort en plein public. Ils avaient en leur possession huit bouteilles de produits inflammables et quatre boîtes des produits toxiques. «Treize des protestataires, dont trois dans un état grave, ont ingurgité le poison et ont été transférés à l’hôpital», déclare leur porte-parole. Les treize suicidaires en question ont déjà quitté l’hôpital. Selon les autorités locales, il ne s’agissait pas d’empoisonnement, mais d’un état de fatigue dont ils souffraient. Les autorités affirment même que les analyses effectuées sur le sang de ces treize personnes n’ont révélé aucune trace de ces produits toxiques.
On a évité un véritable drame qui aurait fait de nombreuses victimes. Ce groupe de malvoyants compte près de 180 personnes en quête d’un poste de travail dans la fonction publique. «Le gouvernement offre des postes aux autres diplômés chômeurs et pas à nous ! Nous n’avions plus qu’à nous suicider», précise M. Arban. Difficile de légitimer un acte pareil, mais «devenir un martyr» s’apparente au dernier recours pour ces hommes et ces femmes qui errent dans les rues et squattent les artères de la capitale pour crier leur peine. Devant le Parlement, les ministères et sur les places les plus populaires, ces chômeurs scandent leur droit au travail tel que le prévoit la Constitution. «Notre tentative de suicide, même si elle n’a pas eu lieu, est une responsabilité que doit assumer le gouvernement», insistent ces chômeurs malvoyants dans un communiqué. Et de réclamer de nouveau le règlement de leur situation par leur intégration dans les différents cycles de la fonction publique. «Cela fait plus de sept ans que plusieurs d’entre nous font des sit-in à travers des groupes dispersés. La situation est insupportable et nous sommes prêts à tenter de nous suicider de nouveau s’il le faut», affirme le porte-parole de ce groupe. Avec une boîte pour récolter des fonds et des pancartes pour exprimer la révolte, ces chômeurs n’attendent plus que le jour où la délivrance arrivera.

9allek ettwenssa me3fyin men 7keyet el visa ellibya

AAAAAh mahou ellibiya ma yal9aw fine ....

oui , en effet aparament les tunisiens ne sont pas concerné par la procedure des libiens

donc l'info que j'ai est juste!

tletelef a écrit:

AAAAAh mahou ellibiya ma yal9aw fine ....

Looooooool 3000 .. C la seule cause je pense

pour une fois ke nos prostit et not' celtia servent à qqe choz

Accrochage libano-israélien à la frontière

BEYROUTH (AP) - Des troupes libanaises et israéliennes ont échangé des tirs mercredi soir à la frontière, pour la première fois depuis la fin de la guerre entre Israël et le Hezbollah l'été dernier. L'incident n'a fait aucun blessé et ne semble pas remettre en cause le cessez-le-feu.

L'accrochage, qui s'est produit près du village de Maroun el-Rass, théâtre de violents affrontements l'été dernier, montre combien la situation reste tendue dans le secteur de la Ligne bleue tracée par l'ONU pour délimiter la frontière entre le Liban et Israël, près de six mois après l'accord qui a mis fin à 34 jours de combats.

D'après des sources de sécurité libanaises ayant requis l'anonymat, les forces libanaises ont ouvert le feu sur un bulldozer de l'armée israélienne qui avait traversé la ligne de démarcation et pénétré d'une vingtaine de mètres en territoire libanais. Les forces israéliennes ont riposté.

L'armée israélienne affirme, elle, que les troupes ont franchi la clôture très surveillée mais sont restées au sud de la Ligne bleue, en territoire israélien. Les soldats, selon Tsahal, recherchaient d'éventuelles mines que le Hezbollah aurait pu planter près de l'endroit où Israël accuse la milice chiite libanaise pro-iranienne d'avoir dissimulé quatre bombes retrouvées lundi. Le Parti de Dieu assure que les engins datent d'avant la guerre. Sinon, il s'agirait d'une violation manifeste du cessez-le-feu.

La force intérimaire des Nations unies au Liban-Sud (FINUL), qualifiant de "grave" l'incident, a "exhorté (les deux parties) à cesser immédiatement les hostilités", selon son porte-parole. Le communiqué de Liam McDowell suggère que les forces israéliennes n'avaient pas franchi la frontière quand les tirs ont éclaté. Ils ont duré quelques minutes. "Aux dernières nouvelles, les choses semblaient s'être calmées", a déclaré un porte-parole de l'ONU à New York, Farhan Haq.

Le ministre français des Affaires étrangères, Philippe Douste-Blazy, interrogé jeudi par la radio RFI, a demandé "que l'armée libanaise et l'armée israélienne puissent s'abstenir aujourd'hui de tout acte belliqueux" afin "de ne pas raviver les tensions".

Quelque 15.000 soldats libanais ont été déployés au Liban Sud, pour la première depuis 30 ans, pour veiller au respect du cessez-le-feu, avec l'aide de la FINUL renforcée, qui compte environ 12.000 hommes de près de 30 pays, dont 2.500 Italiens et 1.650 Français. La guerre de l'été dernier a fait plus d'un millier de morts côté libanais et 150 côté israélien.

L'accrochage de mercredi soir était le premier avec l'armée libanaise. Israël avait perdu un officier cinq jours après le cessez-le-feu, dans un raid contre le réarmement du Hezbollah à Boudaï, dans la vallée de la Bekaa. La milice reste présente au Liban-Sud mais elle opère surtout sous terre, cachant des armes.

Le cessez-le-feu n'est par ailleurs toujours pas totalement appliqué, Israël effectuant des vols de reconnaissance au-dessus du Liban, et le Hezbollah n'ayant pas relâché les deux soldats capturés le 12 juillet côté israélien, ce qui avait déclenché la guerre. Les négociations continuent. AP

Citation :

En cette fin de matinée du lundi 12 février 2007, un séisme réveilla la population marocaine.
En effet, c’est à 10h35 qu’une secousse légère a été sentie, puis une deuxième qui confirma l’hypothèse : "Un tremblement de terre". D’une magnitude 6,3 sur l’échelle de Richter, elle eut lieu à 400 Km au large des côtes ouest marocaines, le Portugal ayant également été touché.
Les citoyens terrifiés par ce phénomène "naturel", ne sachant que faire dans une telle situation, quittent leurs domiciles et leurs bureaux.
Quelques minutes après, les gens retournent vers leurs locaux, se sentant moins en danger.
Il est 11h50 lorsque soudainement une info circule une peu partout : le risque d’une nouvelle secousse, tout le monde doit quitter les lieux.

Communiqué officiel ou simple rumeur, les citoyens ont à nouveau quitté les lieux, s’évadant vers les espaces ouverts, loin des constructions. Certains parents craignant pour la sécurité de leurs enfants, ont préféré les faire sortir de leurs écoles et les emmener avec eux.

Des personnes terrifiées, d’autres plus rassurées, et tous se posant la même question : "Vers qui se diriger pour Savoir ?"

ana j'étais parmi les personnes terrifiées l7amdoullah ya rabbi kif t3addat 5fifa

malla faj3a , ca me rapelle le seisme qui a eu lieu a tunis y a quelques années

j'espere que y a pas eu de degats grave !!

Y avait aucun degat l7amdoullah ghir dyor lli chat7o chwiya mdrr

w darkom 9a3det labess!!! vraiment dommage
(yoltof bik)

Eyyeh darna forte yas7ab lik darkoum o ana labass 9a3da 3la 9albek fi had ddenya

me7soub ken to5rej men had ddenya bech t5allini raye4. ti msaybek ettaba3 fia 7atta essebe3 smè

mè fèmmèch diar tsar9ou ba3d mè 9aloulkom allez o5rjou mßén diarkom ??? loool

Lla 7na 3ay9in o fay9in on a pas quitté nos maison pour ça mdrr

non sérieux on a pas quitté nos maison au moins où j'habite l'article parlait des locaux administratifs (boulot, ecole,..) hadok ra talbinha sabba ils attendent n'importe quel pretexte pour sortir mdr

Moi j'étais avec mes 2 soeurs mon frère qui venait de rentrer et mon frère qui dormait encore la 1ère secousse c'est ma soeur seule qui l'a ressenti elle nous a dit que la maison a bougé on s'est moqués d'elle mais la deuxieme c'était plus forte on l'a senti tous maban liya ghir mon neveu je l'ai porté et je vous cache pas j'allais sortir j'étais plus terrifiée qu'aux autres et c'est mon frère qui nous a calmé il était trés calme mon petit frère qui dormait a cru que c'était nous qui font bouger son lit bech nfey9oh et quand il a vérifié qu'il y avait personne rjo3 n3ess en se disant qu'il n'était un rêve
sa3dat mes collègue 5arjouhoum tous du boulot ils n'ont pas travaillé toute la journée

Rabbi star s'il était plus fort il produirait un tsunami parce que le tremblement était au niveau de l'ocean

Rabbi yostor w barra

Amiiiiiiine

heureusement jét 5fifa! rabbi yostor ta3mallchi talla marra o5ra w barra