News From Mahdia

Le tourisme tunisien a enregistré 3% de croissance au
cours des neuf premiers mois de l’année 2006.

On a, en effet, enregistré l’entrée de 5.324.201 étrangers cette année dont
3.274.093 entrées européennes représentant 62% du volume global. La palme
d’or des entrées revient, comme d’habitude, ces dernières années, aux Libyens
avec 1.139.070 entrées et une croissance de 3,3%. La deuxième place est
occupée par les Français qui ont enregistré 1.013.698 entrées
et une croissance de 4% tandis que la troisième place est occupée par les
Algériens avec 778.677 entrées et une croissance de 9,3%.

Concernant les Algériens, nous rapportions dans une précédente news le
chiffre de 900.000 entrées au 10 septembre. Nous tenions ce chiffre du
ministère du tourisme qui ne coïncide donc pas avec le dernier chiffre
communiqué fin septembre. Un écart que nous n’arrivons pas à expliquer.

En ce qui concerne le taux d’occupation, on enregistre un taux de 56,6% sur
l’ensemble de nos unités hôtelières. La palme d’or revient à la région de
Mahdia avec un taux de 71,8% devant la région de Djerba avec 69% et la
région de Sousse avec un taux de 65,7%.

Tunisie: Rencontre régionale des éducatrices à Mahdia


La Presse
(Tunis)

15 Octobre 2006
Publié sur le web le 16 Octobre 2006
La femme éducatrice, un rôle fondamental au sein de l'école
M.
Ali Chaouch, membre du Comité central du Rassemblement Constitutionnel
Démocratique et ministre des Affaires sociales, de la Solidarité et des
Tunisiens à l'étranger, a présidé, vendredi, au siège du gouvernorat de
Mahdia, une rencontre régionale des éducatrices, organisée dans le
cadre de la célébration de la Journée mondiale de l'éducateur.
Le
ministre a souligné l'attention particulière accordée par le Président
Zine El Abidine Ben Ali aux secteurs de l'éducation, de l'enseignement
et de la formation, passant en revue les acquis et réalisations majeurs
accomplis en faveur de ce secteur et les réformes fondamentales qui y
ont été introduites, expliquant que ce secteur joue un rôle clé dans la
promotion des ressources humaines, l'instauration de la société du
savoir et la garantie de l'insertion de la Tunisie dans le processus de
modernité.
Il a également mis en exergue le
climat de paix et de stabilité et les manifestations de développement
durable que connaît la Tunisie du Changement grâce à la clairvoyance de
sa direction et à la pertinence de ses choix.
Ces
choix, a-t-il dit, ont permis la réalisation de nombreux succès dans
les différents secteurs et l'ancrage de la culture de la solidarité, de
la tolérance, de la modération et du juste milieu, culture inspirée des
nobles valeurs de la sublime religion islamique qui bénéficie d'une
sollicitude présidentielle constante.
Le
ministre a souligné l'attention particulière accordée par le Chef de
l'Etat à la famille élargie de l'éducation en considération de la
noblesse de la mission qui lui est dévolue dans la transmission aux
générations futures des nobles valeurs universelles, loin de tout
extrémisme ou fanatisme.
Il a fait état des
acquis majeurs accomplis en faveur de la femme tunisienne depuis
l'indépendance, et consolidés par le Changement sous l'impulsion du
Président de la République. Il a souligné le rôle fondamental joué par
la femme éducatrice au sein de l'école et dans son environnement
familial pour l'ancrage de la culture de la tolérance, de la modération
et de la solidarité et la diffusion de la pensée éclairée.
M.
Chaouch a également souligné la contribution de l'éducatrice à
l'enracinement des attributs de l'identité nationale, fruit de
civilisations successives et de traditions authentiques qui rejettent
les modèles importés tels que l'uniforme sectaire.

Il a appelé à intensifier la sensibilisation et
la mise en garde contre la gravité du port de tenues vestimentaires
d'inspiration sectaire étrangère à la société tunisienne.
Les
participantes ont exprimé leur adhésion aux choix du Président de la
République et leur engagement à accomplir leur mission éducative comme
il se doit, à sauvegarder et à enrichir les acquis et les réalisations
et à faire face efficacement à toute forme de fanatisme et d'extrémisme.
M.
Ali Chaouch a remis des ordinateurs portables aux élèves méritants,
ainsi que des aides présidentielles à plusieurs étudiants de la région.

MAHDIA
Des activités à tire-larigot !

Après le festival de la Médina qu’ont vécu Mahdia et les villes du gouvenorat dans l’allégresse et la joie, la charge est revenue à Chadly Azzabou de préparer les festivités marquant le 19ème anniversaire du Changement du 7 Novembre.
Pour réussir cette entreprise, le commissariat régional à la Culture et à la Sauvegarde du patrimoine présente un programme varié où musique, chants, folklore, théâtre, cinéma, arts plastiques seront de la partie :
La caravane cinématographique est produite dans les zones rurales du gouvernorat pour la projection de films pour enfants et adultes, et ce, les 27,28, 29 et 30 octobre et les 3,4,5 novembre.
La Maison de la Culture de la Chebba a accueilli, le 1er novembre, «Musique» du groupe Mosaïque.
La Maison de la Culture de Mahdia a ouvert ses portes à «Soif de Nuit» de la troupe de Monastir, le 3 novembre.
La place du 7 Novembre à Mahdia, a accueilli, le 4 Mama Africa avec Ahmed Méjri, et la ville de H’Bira, une joute de poésie populaire folklorique.
D’autres activités ont été organisées dont une avec Adel Soltane et la Troupe nationale Folklorique, le 5.
Aujourd’hui, l’hôpital de Mahdia organise une soirée avec animation et musique au profit des résidentes.

tunisHebdo - ZGE

Tunisie: Conférence à Mahdia sur «Des chances
de réussite plus grandes pour l'élève et l'étudiant», édifier une
société du savoir basée sur l'intelligence

la presse


6 Novembre 2006

M.Sadok Korbi, ministre de l'Education et de la Formation, a présidé
samedi dernier, à Mahdia, les travaux d'une conférence organisée dans
le cadre de la célébration du 19e anniversaire du Changement, sur le 2e
point du programme présidentiel et intitulée «Des chances de réussite
plus grandes pour l'élève et l'étudiant».
Le
ministre a souligné à cette occasion la portée et les significations
nationales de cette prestigieuse commémoration, évoquant la richesse
des réalisations accomplies dans les différents domaines et qui ont
contribué à l'essor de la Tunisie faisant d'elle un modèle cité dans
les instances internationales.
Il a passé en
revue les objectifs qualitatifs et quantitatifs fixés dans le programme
présidentiel en matière d'éducation, mettant l'accent sur la nécessité
de conjuguer les efforts en vue de mettre fin au phénomène
d'interruption de la vie scolaire, de diffuser la culture de la
créativité et de l'excellence et d'édifier une société du savoir basée
sur l'intelligence, tout en demeurant attachée aux valeurs
d'authenticité, de tolérance et d'ouverture sur l'autre.

M. Korbi a évoqué également les investissements
importants alloués par la communauté nationale au secteur de
l'éducation et de la formation et dont le volume a dépassé les 300.000
dinars pour l'année scolaire en cours.
Dans ce
contexte, il a affirmé la poursuite de l'instauration de «l'école de
demain», le démarrage, à partir de l'année scolaire prochaine, des
collèges pilotes, outre le programme de mise à niveau des centres de
formation professionnelle, l'élargissement des domaines de partenariat
entre les établissements éducatifs et leur environnement et la
généralisation des laboratoires de langues dans les collèges et lycées,
en plus de la création de nouvelles filières d'enseignement et la
valorisation des résultats de la recherche scientifique.
Par
ailleurs, le ministre de l'Education et de la Formation a pris
connaissance des acquis éducatifs enregistrés dans le gouvernorat de
Mahdia durant 19 ans de Changement à travers une exposition régionale
d'information organisée à cette occasion.

Coup d'envoi de la 5e étape du rallye d'endurance

Le coup d'envoi de la 5e étape du Rallye d'endurance, reliant Medenine à Mahdia en passant par Gabès et Sfax, a été donné, jeudi, par M. Kamel Ben Ali, gouverneur de Medenine, en présence de Mme Aziza Htira, présidente de l'Union Nationale de la Femme Tunisienne (UNFT).

Les trente-deux concurrents à bord de dix-neuf voitures en course ont participé à des conférences ayant pour thèmes notamment ''l'histoire du mouvement national'' et ''la protection de l'environnement'' ainsi que des cours sur les premiers secours.

Ce rallye a pour objectif de lutter contre le fléau des accidents de la route, d'inciter les jeunes à un comportement civique au volant et à la préservation de l'environnement.

Tunisie: Workshop sur les carrières aux alentours des villes, diagnostic précis des potentialités


La ville de Mahdia abrite du 16 au 25 novembre un workshop international sur les carrières aux alentours des villes : les défis et les projets d'aménagement. Cette rencontre est organisée par l'Unesco en collaboration, notamment, avec l'Association de la sauvegarde de la ville de Mahdia et la participation de chercheurs tunisiens et étrangers.

Cet atelier devait permettre aux participants d'élaborer, en huit journées d'observation et de travail sur le terrain, des études scientifiques susceptibles de diagnostiquer avec précision les opportunités d'aménagement et de revalorisation des carrières désertées afin de contribuer au processus de développement de la région qui compte 135 carrières dont 74 sont exploitées traditionnellement et 43 industriellement. Notons que certaines de ces carrières ont été transformées en exploitations arboricoles.

«DHAOU FIL BHAR»
Une nouvelle lumière dans les courts métrages


L’univers de notre septième art foisonne de courts métrages, comme nous avons pu le constater tout au long de l’année 2006 dans les différentes manifestations ayant trait au cinéma.
En septembre dernier, a été tourné, à Mahdia, «Dhaou fil bhar», un court de 15’, réalisé par Nasser Kasraoui, originaire de cette même ville, et produit par la société Hassen de Production Artistique. Le film a bénéficié de l’aide à la production du ministère de la Culture et de la Sauvegarde du patrimoine.
De quoi s’agit-il ? C’est l’histoire de Fatma, une jeune fille innocente et gaie qui nage comme une sirène. Elle fait le bonheur de Loufi, un quinquagénaire bossu et muet qui lui sert d’ange gardien, qui s’est entiché d’elle et la protège jalousement contre les regards. Fatma a peur. De quoi ? De cette mystérieuse lumière qui s’allume et s’éteint en mer ? De cette foule subjuguée par cette lumière et qui reste immobile toute la nuit sur la falaise ? Du gardien du fort où elle habite ? De la femme de celui-ci? Ou tout simplement de l’avenir lugubre et incertain ? Elle trouvera seule la libération à ses angoisses.

Première session d'une manifestation sur les arts plastiques à Mahdia

Une manifestation sur les arts plastiques, organisée à l'initiative du forum des plasticiens de Mahdia a démarre samedi dans cette ville sur le thème "empreintes".

Cette session a laquelle participent 12 plasticiens avec 40 oeuvres se poursuivra jusqu'au 7 janvier 2007.
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Il est à noter que le forum des plasticiens de Mahdia contribue à l'encadrement et à la promotion des jeunes plasticiens dans cette région.

Iberostar Tunisie à « El Fatimi »
L’hôtel El Fatimi (4 étoiles) à Mahdia vient d’être confié à la société Iberostar Tunisie. Un contrat de location-gérance a été signé à cet effet entre la société d’exploitation hôtelière et touristique et Iberostar Tunisie.

Tunisie: Du 18 au 25 février à Mahdia

Rencontres internationales sur le patrimoine immatériel

L'Institut national du patrimoine organise du 18 au 25 février, à Mahdia, les premières rencontres internationales de Tunis sur le patrimoine culturel immatériel.

Participeront à cette manifestation des chercheurs dans différentes disciplines et des représentants d'institutions scientifiques spécialisées et d'organisations internationales.

Ces rencontres visent à approfondir la réflexion sur le concept de l'immatérialité s'agissant des différents secteurs culturels, de savoirs scientifiques, économiques, technologiques et numériques.

Elles porteront également sur la mise en place de mécanismes de coopération et de partenariat au niveau régional et international entre les organismes et établissements spécialisés dans le domaine du patrimoine culturel immatériel, outre l'identification des domaines culturels concernés par le concept de l'immatérialité.

Le programme comporte des communications et des ateliers traitant de plusieurs thèmes relatifs au patrimoine immatériel dont "Les traditions et les expressions orales", "Les arts du spectacle", "Les pratiques sociales, rituelles et festives", "Les identités et la pluralité culturelle", "Les connaissances et les pratiques concernant la nature et l'univers" et "Les moyens et les législations susceptibles de sauvegarder les droits des détenteurs de savoir-faire".

Le document introductif de cette manifestation, et en se référant à la définition proposée par l'Unesco, entend par patrimoine culturel immatériel toutes les pratiques, représentations, expressions, connaissances et les savoir-faire, outre les instruments, les objets, les artefacts et les espaces culturels qui représentent une partie du patrimoine culturel des communautés, groupes et individus.

A noter que l'Institut national du patrimoine compte en son sein une unité de recherche specialisée dans le patrimoine culturel immatériel tunisien.

l'histoire d'une famille mahdoise qui a sauvé la vie d'un couple juif dans la guerre mondiale

Tunisian becomes the first Arab nominated for Holocaust honour

JERUSALEM: At the height of the Second World War, Khaled Abdelwahhab hid a group of Jews on his farm in a small Tunisian town, saving them from the Nazi troops occupying the north African nation. More than six decades later, Abdelwahhab has become the first Arab nominated for recognition as "Righteous Among the Nations" by Yad Vashem, Israel's official Holocaust memorial. The honor is bestowed on non-Jews who risked their lives to save Jews from Nazi persecution. The nomination of Abdelwahhab, who died in 1997, has reopened a little-known chapter of the Holocaust, one that unfolded in the Arab countries of north Africa. Abdelwahhab was nominated by Robert Satloff, director of the Washington Institute for Near East Policy, a US think tank. Satloff said that after the Sept 11 attacks, he moved to Morocco to research what happened in Arab lands during the Holocaust in hopes of countering Holocaust denial in the Arab world and tempering some of the sentiments he thought helped pave the way for the attacks. "I asked, did any Arabs save Jews in the Holocaust?" Satloff said. "If they did, these are stories about which Arabs could be proud. It would also entail accepting the context, because it would mean there was something to save Jews from." That search led Satloff to Abdelwahhab, the cosmopolitan son of an aristocratic family who was 32 when German troops arrived in Tunisia in November 1942.
The north African nation was home to some 100,000 Jews at the time. According to Yad Vashem, the Germans instituted anti-Semitic policies in Tunisia, imposing fines on Jews, forcing many to wear Star of David badges and confiscating property. More than 5,000 Jews were sent to forced labour camps, where 46 are known to have died. Around 160 Tunisian Jews who happened to be in France were dispatched to European death camps. Most Tunisians, according to the material compiled by Yad Vashem, did not attempt to intervene. Abdelwahhab, an amateur archaeologist and architect with something of a hedonistic bent, served as an interlocutor between the population of the coastal town of Mahdia and the German occupation forces, Satloff said. He was also a country farmer, a sometime Tunisian civil servant and an avid traveller. When he heard one evening that German officers were planning to rape Odette Boukris, a local Jewish woman, he gathered her family and several other Jewish families in Mahdia -a total of around two dozen people and took them to his farm outside town. He hid them for four months, until the German occupation ended. "Khaled is the finest example, though not the only one, of an Arab who saved Jews from persecution during the German occupation," Satloff said.
Satloff first heard Abdelwahhab's story several years ago from Anny Boukris, a 71-year-old resident of a Los Angeles suburb. An 11-year-old in 1943, Boukris is Odette Boukris' daughter and was also hidden by Abdelwahhab. Satloff traveled to Mahdia and talked to Boukris' childhood friends, who confirmed the story. Just weeks after Boukris recorded her 83-page testimony, she passed away. Abdelwahhab still has to be approved by the Yad Vashem commission that grants the honour. Since the war, Yad Vashem has conferred the status on 21,700 people, including some 60 Muslims from the Balkans. But no Arab had ever been nominated. "The commission will decide based on the strict criteria for recognizing the Righteous Among the Nations. We can't speculate on what the outcome will be," said Estee Yaari, a spokeswoman for Yad Vashem. Tunisia was the only north African country to come under direct German rule. Nearby Morocco and Algeria were governed by the pro-German collaborators of Vichy France. Bruce Maddy-Weitzman, a north Africa expert at Tel Aviv University, said that Morocco's king at the time, Mohammed V, intervened to protect Jews in his country. "But the story in Tunisia was quite different, because there was a direct occupation by the German army," he said. _ AP

T'as pas une version français barcha klèm s3ib bech n7él eldictionnaire akther melli bech na9ra ce ke t'as posté

kadi a écrit:

T'as pas une version français barcha klèm s3ib bech n7él eldictionnaire akther melli bech na9ra ce ke t'as posté

femma elgooogle chaggal ya benti : http://www.google.fr/language_tools?hl=fr

merci binou

kadi a écrit:

merci binou

menguir mzewdya

«EL MOUNTADA», NOUVEAU MAGAZINE REGIONAL
Une parution à consolider !




Après le numéro expérimental en 2005, «El Mountada» magazine culturel et d’information, réapparaît, avec la subvention du conseil régional du gouvernoat de Mahdia. Ce magazine, initiative du Comité régional culturel de Mahdia, paraît sous la direction de Chedly Azzabou, commissaire régional à la culture et à la sauvegarde du patrimoine, avec la participation régionale, demeure limité malgré la participation de professeurs universitaires, de critiques littéraires et artistiques connus dans le monde de l’information, de géographes urbanistes et des humanistes.
Dans son éditorial, Azzabou remercie tous ceux qui ont participé à la parution, peut-être tardive, du Mountada et souhaite trouver une meilleure compréhension auprès des responsables d’entreprises régionales et hommes d’affaire pour le soutien financier nécessaire dans le cas d’espèce. Quant à la rédaction, elle reste ouverte à toute personne susceptible de valoriser, promouvoir et enrichir le contenu pour que ce magazine atteigne ses objectifs et devienne une tribune de création culturelle. Dans le cadre de l’hommage rendu à Ibn Khaldoun, le professeur Salem Labiadh et l’humaniste Maher Trimeche ont présenté un long débat sur la philosophie khaldounienne sur la notion de tribu dans l’esprit du sociologue et la compréhension des arabes de sa pensée et sa contribution dans l’évolution de la philosophie dans le monde arabe.
Ali Toumi, géographe et urbaniste a réalisé un dossier réservé à la situation géographique, le tissu urbain, les composantes socioéconomiques du gouvernorat de Mahdia. Côté culturel, la poésie et le conte court se sont réservé de grands espaces avec une rétrospective des manifestations culturelles, littéraires et artistiques réalisées par le commissariat régional à la culture et à la sauvegarde du patrimoine de Mahdia dans toutes les villes du gouvernorat.
Le côté artistique n’a pas été délaissé, puisque H’mida Souli, critique d’art, a rédigé un dossier-critique réservé à l’œuvre de l’artiste plasticien, originaire de Mahdia, Najmi Zardoumi dont un tableau de «Sidi Bou Saïd, le café», figure en recto du magazine. Quant à Mouldi Ferrouj, chef de file de la poésie régionale, il a cherché du côté du «Mensonge culturel»: L’art de mentir, les besoins, la perception et les finalités du mensonge en appelant un proverbe connu: «Mentir pour l’intérêt... est permis...».
Voici quelques impressions sur «El Mountada»
- Hachmi Bennour (professeur, directeur de l’Institut des Etudes Appliquées en Humanité - Mahdia) : «Le contenu est consistant, varié et traité de sujets divers, sciences humaines, sociologie, histoire littéraire et critique d’arts plastiques. Ces sujets traités par des universitaires connus ne peuvent que promouvoir ce magazine régional, enrichir l’information et surtout activer la vie culturelle dans la région».
- Ali Ammar (professeur d’enseignement secondaire à Mahdia): ««El Mountada», à qui je souhaite longue vie, ne peut qu’enchanter les intellectuels de la région en manque d’informations. Les sujets traités sont de haut niveau et peuvent être une source d’information pour les chercheurs et surtout les étudiants».
- Fethi Klabi (assistant universitaire) : «une lecture électique d’aspects reflétant la richesse culturelle, littéraire, artistique sociale du gouvernorat de Mahdia».
- Habib Mufti (ingénieur en textile) : «Un début prometteur, qu’il est nécessaire de le consolider par des activités culturelles régionales, et des sujets relatifs au gouvernorat».

Conférence à Mahdia sur la loi de finances 2007
L’investissement augmentera de 10%, grâce à des conditions plus propices aux affaires

La ville de Mahdia a abrité, hier, une conférence internationale sur la loi de finances pour l’exercice 2007 et la loi relative aux tarifs douaniers et à la pression fiscale sur les entreprises.

Cette rencontre internationale a concerné les gouvernorats de Mahdia, Monastir, Sfax et Kairouan.

Présidant les travaux de cette conférence, M. Mohamed Rachid Kchich, ministre des Finances, a souligné que le budget de l’Etat et la loi de finances constituent chaque année un événement mobilisant l’intérêt de tous les citoyens, des acteurs économiques, des organisations nationales et des institutions financières internationales.

Les chiffres du budget donnent, en effet, des indications claires sur le degré de l’intervention publique aux niveaux de l’emploi, de l’investissement et de la consolidation du rythme du développement, a précisé M. Kchich.

Le ministre a passé en revue les objectifs fixés pour l’année en cours qui visent à atteindre un taux de développement du PIB de 6%, une croissance de 9% pour les exportations contre 8,4% pour les importations, et une augmentation de l’investissement dépassant les 10%.

Il a souligné que la Tunisie adopte une approche de réforme visant la mise en place d’un environnement des affaires encourageant l’initiative privée et l’investissement.

Ainsi, a fait remarquer le ministre, la réalisation de revenus fiscaux supplémentaires n’est pas un objectif en soi, mais représente une condition essentielle pour permettre au budget de l’Etat d’assumer au mieux son rôle dans l’impulsion du développement et la distribution de ses fruits à l’échelle la plus large dans le cadre de la transparence, de l’objectivité et de la réconciliation entre le citoyen et le fisc.

MM. Mohamed Rachid Kchich et Moncef Bouden, secrétaire d’Etat, chargé de la Fiscalité, ont ensuite répondu aux questions des présents, relatives au système fiscal dans les différentes activités, soulignant la nécessité de consolider la culture de l’accomplissement du devoir fiscal.
Les participants ont, par ailleurs, loué le saut qualitatif enregistré par le système fiscal, appelant le Président Zine El Abidine Ben Ali à présenter sa candidature aux élections présidentielles de 2009.

Premières rencontres internationales de Tunis sur le patrimoine culturel immatériel
« L'espace de la mémoire culturelle par excellence »

la ville de Mahdia a abrité la semaine dernière (du 19 au 24 février), un évènement historique : les premiers rencontres internationales de Tunis sur le patrimoine culturel immatériel sous l'égide du Ministère de la Culture et de la Sauvegarde du Patrimoine avec la participation d'une centaine de chercheurs, universitaires et spécialistes dans le domaine du patrimoine, venus des quatre coins du monde.

L'Institut National du patrimoine (INP), le chef d'orchestre de cette manifestation, a mis les bouchées doubles pour le bon déroulement des rencontres et son choix de la capitale des Fatimides n'est pas dû au hasard, comme l'ont annoncé dans leur allocution d'ouverture MM. Mohamed El Aziz Ben Achour, Ministre de la Culture et de la sauvegarde du Patrimoine et Taïeb Aloui, gouverneur de Mahdia.

Abritant un moyen de recherches sur le patrimoine culturel immatériel l'INP a estimé le moment opportun pour approfondir la réflexion dans ce domaine et a été soutenu dans ses efforts d'organisation par le Centre d'Etudes et de Recherches Economiques et Sociales, l'ALECSO, l'UNESCO et le Centre des Musiques Arabe et Méditerranéenne de Sidi Bou Saîd, Ennejma Ezzhra.

En effet, de nombreux invités tunisiens et étrangers ont apporté tout au long des rencontres, leur témoignage sur l'intérêt immense suscité par la question du patrimoine immatériel dans le monde et l'urgence ressentie pour sa protection, compte tenus des menaces que font peser sur lui les modes de vie contemporains et les processus de mondialisation.

Qu'entend-t-on par « patrimoine culturel immatériel » ? selon les spécialistes, ce sont les pratiques, représentations, expressions, connaissances et savoir - faire ainsi que les instruments, objets, artefacts et espaces culturels qui leur sont associés que les communautés et les groupes reconnaissent comme faisant partie de leur patrimoine culturel.

« Ce patrimoine transmis de génération en génération - selon toujours la définition est recrée en permanence par les communautés et groupes, en fonction de leur milieu, de leur interaction avec la nature et de leur histoire et leur procure un sentiment d'identité et de continuité contribuant ainsi à promouvoir le respect de la diversité culturelle »

Un long travail de recherche mené dans ce sens par l'UNESO, a permis d'ouvrir la voie à de nouvelles approches de la compréhension, de la protection et du respect du patrimoine culturel qui ont atteint leur point culminant avec l'adoption de la convention pour la protection du patrimoine culturel immatériel, une convention qui a été ratifiée par plus d'une quarantaine de pays dont la Tunisie.

Pour M. Abderrahmane Ayoub, organisateur scientifique des rencontres de Mahdia, il ne fait plus de doute aujourd'hui que le patrimoine culturel immatériel relevé au rang essentiel qui lui sied, est devenu un concept opératoire assez souple pour définir les cultures des sociétés, les mécanismes qui gouvernent les acquis culturels et leur devenir et les mutations par lesquelles elles passent inévitablement... Regroupant l'ensemble des manifestations de l'homme, des plus manifestes aux plus discrètes, de l'articulé au non-dit, des plus concrètes aux parfaitement imaginaires. Précise encore A. Ayoub- le patrimoine culturel immatériel confortablement assis dans la pérennité et le continuum, s'inscrit dès lors comme l'espace de la mémoire culturelle par excellence... »

Le débat d'idées qui a eu lieu lors de ces rencontres a été axé sur la complexité de la problématique dans l'objection est la mise en place de structures pour la promotion de la recherche, la sauvegarde et la valorisation du patrimoine culturel immatériel.

En organisant une telle manifestation la Tunisie prouve une fois de plus, son attachement au principe de la diversité culturelle et au droit des cultures à s'exprimer , droit qui est partie intégrante des droits de l'homme.

Tunisie: Mahdia - Tourisme

Animation, qualité et accès facile

Après Monastir, Djerba et Sousse, c'est au tour de la région de Mahdia de considérer la meilleure façon de participer activement dans sa propre promotion en tant que destination touristique à part entière qui regorge d'atouts spécifiques.

La question a été longuement débattue, jeudi dernier dans la capitale fatimide, par les hôteliers de la région et l'administration de tutelle, représentée par le directeur général de l'Office national du tourisme tunisien (Ontt), M. Raouf Jomni, le président-directeur général de l'Agence foncière touristique (AFT) et leurs principaux collaborateurs.

Les participants à cette réunion ont surtout discuté des modalités permettant de faciliter l'accès à la zone touristique à partir des autres villes, l'animation touristique et l'adoption de la qualité par les hôteliers.

La réunion a également abouti à la constitution de deux commissions conjointes entre les professionnels de la région et l'administration, l'une pour la promotion et le marketing et la seconde pour l'aménagement de la nouvelle zone touristique. M. Raouf Jomni a aussi visité plusieurs unités hôtelières de la région, aussi bien celles qui sont en activité que celles en chantier d'extension.

Ces rencontres entre l'administration et les professionnels des différentes zones touristiques du pays visent à mieux faire participer ces régions à l'effort promotionnel de la Tunisie. Elles répondent à deux facteurs majeurs dans la définition de la stratégie promotionnelle de l'Ontt sur les marchés émetteurs, à savoir la concurrence de plus en plus farouche sur ces marchés, notamment avec l'émergence d'une multitude de nouvelles destinations, et la capacité démontrée par nos régions touristiques à attirer de la clientèle spécifique.

Dans le cadre de l’obtention du diplôme de fin d’études, les étudiants de la 4ème de l’Institut supérieur d’animation culturelle et de la jeunesse de Bir El Bey choisissent entre soutenir un mémoire de fin d’études ou présenter un projet d’animation culturelle (théâtre, ateliers d’animation de rue, marionnettes…) C’est pour cette dernière solution qu’a opté un groupe d’étudiants futurs animateurs des maisons de culture ou professeurs d’animation culturelle et artistique soutenus et encadrés par des professeurs de différentes disciplines dispensées à l’Institut et qui sont appelés à évaluer et noter le projet présenté. Ce groupe composé de Hamza Achour, Noura Meftahi, Saber Manaï et Imen Mahjoub, encadrés par les professeurs Sonia Hidhri, Adel Ouertani et Mounir Sbouï, ont opté pour un projet appelé «Panorama d’animation» avec théâtre pour adultes et enfants, animation de rue, marionnettes, déguisement, atelier de masques et conférences-débat suivis par des projections de films dans divers thèmes.
A Mahdia, tout a commencé par l’exhibition des marionnettes géantes sur les diverses places, de la ville suivie par une grande foule d’enfants et d’adultes. Ce marathon culturel s’est terminé à la maison de la culture de Mahdia, par une présentation de théâtre pour enfants «Histoire d’Antan». L’après-midi, Imen Mahjoub et Hamza ont présenté «Game Over» pièce pour adultes, un texte collectif légèrement inspiré des «Chaises» de Inoesco.
Ce fut une belle journée, avec un seul mot d’ordre : «L’animation culturelle».

EXPO DE SABINE NIENHUISEN A MAHDIA
Impressions de voyages



Nombreux sont ces artistes plasticiens qui optent pour une résidence dans notre pays, attirés certainement par la clémence du temps, de la chaleur de l’accueil, du calme et la sérénité, mais surtout de la multitude de sources d’inspiration offertes pour réaliser leurs œuvres et s’adonner avec beaucoup de plaisir à leur violon d’Ingres.
Tel est le cas de l’Allemande Sabine Nienhuisen qui, après un séjour de plus de cinq ans à Sousse, a mis le cap sur Mahdia où elle séjourne depuis 2006. Professeur de Beaux Arts, actuellement à la retraite, elle a exposé, à Bonn et Berlin à plusieurs reprises, dans des thèmes et des techniques différents que ceux de l’exposition de Mahdia. «Mais c’est toujours la nature, le paysage, la beauté qui reviennent» nous a-t-elle dit.
C’est à l’Espace «Dar El Hemma» jadis Musée de l’Habit Traditionnel Mahdois que Sabine a exposé ses vingt-neuf œuvres, fruit de son séjour à Sousse et Mahdia «Impressions de voyages».
Pour le vernissage qui a eu lieu le 11 juin, amis, amateurs d’arts plastiques, professionnels et artistes plasticiens européens (Autriche, France, Allemagne) vivant à Mahdia se sont retrouvés.
Quant au thème proposé, il avait trait à la Médina, ses ruelles, les maisons traditionnelles, les mosquées, le milieu marin avec leurs joies et tristesses mais aussi le paysage du côté de Cap Africa et le cimetière marin, qui a toujours inspiré beaucoup de plasticiens venus à Mahdia.
Kamel Mili, artiste plasticien, président du Forum des artistes plasticiens de Mahdia-FAPM, nous a déclaré que les œuvres étaient «parfois un mélange d’aquarelles et de pastels qui reflètent la lumière de la Tunisie. Mme Sabine a réussi ses œuvres relatives à l’architecture traditionnellers. Ses œuvres sont imprégnées d’un cachet occidental par l’utilisation de couleurs sombres qui rappellent l’artiste orientaliste, Paul Klee».

Zardoumi Gheïth

Source : Tunis hebdo

Mahdia
Réalisation d’une série de projets présidentiels

Le suivi de la mise en œuvre des projets présidentiels dans le gouvernorat de Mahdia ont été au centre d’une séance de travail tenue récemment au siège du gouvernorat de Mahdia sous la présidence du gouverneur, M. Taïeb Elaloui, en présence du gouverneur au ministère de l’Intérieur et du Développement local, M. Mustapha Karbia.

Il ressort des données présentées que les projets présidentiels au niveau de la région sont à 100% réalisés, à l’exception du projet d’aménagement de Sebkhat Ben Ghiadha dont les travaux vont bon train.

Le projet Sebkhat Ben Ghiadha couvrant 142,3 ha, est le plus important et devrait contribuer à l’amélioration de la qualité de vie de la population de la région, préserver l’équilibre écologique, créer de nouveaux espaces verts et des espaces de loisirs.

Il s’agit notamment de la création d’un lac artificiel, un port de plaisance, l’aménagement de lots spéciaux pour la création d’une zone touristique et de loisirs, un quartier résidentiel et une zone d’activités polyvalentes.

Un nouveau Framissima à Mahdia



A partir de l’année prochaine, le groupe français Fram lancera un nouveau Framissima à Mahdia et qui sera géré par une chaîne hôtelière.

En effet, après Monastir (Framissima Regency), Hammamet (Framissima Shalimar, Tozeur (Framissima Palmeraie) et Djerba (Framissima Golf Beach), ce sera au tour de la capitale des Fatimides d’accueillir son club Framissima qui sera à même de renforcer l’infrastructure de la région mais aussi de diversifier l’offre sur cette zone. Cette nouvelle initiative vient d’être annoncée par Georges Colson, le président du Conseil de Surveillance du groupe et Antoine Cachin, le président du Directoire lors de la conférence annuelle de Fram tenue à Djerba le 2 juillet.

En effet, les voyages Fram, la compagnie Tunisair, l’ONTT, Fram Orange Tours et les équipes Fram en Tunisie se sont réunis pour assurer la tenue de ce rendez-vous auxquels ont été conviés 30 confrères français représentant les principaux médias de l’Hexagone.

Au Framissima Golf Beach, les deux responsables du voyagiste français, considéré jusqu’alors comme l’un des rares et derniers indépendants de France, ont annoncé leurs perspectives de développement sur la Tunisie. Le Maroc verra également et en même temps que la Tunisie, le lancement d’un autre nouveau Framissima à Marrakech qui sera par contre géré par le groupe lui même.

Et Georges Colson d’affirmer que la consolidation de la position du groupe en Tunisie relève carrément de la politique de Fram. Le TO a ainsi franchi d’importantes étapes de son développement à travers sa présence dans nos murs. Développer, créer et s’intégrer dans la vie économique du pays, sont les mots clés de sa stratégie depuis 1975. Et c’est à partir de cette date là que le 1er voyagiste français sur le Bassin Méditerranéen est présent sur la destination avec ses propres filiales. A savoir une société réceptive et trois sociétés hôtelières.

La propreté et l’esthétique urbaines ont toujours posé une problématique aux autorités nationales et aux instances municipales. Dans ce cadre, l’expansion rapide urbaine dans les villes a créé «la Citoyenneté Environnementale» devenue une ambition partagée des pouvoirs publics et la sécurité civile dans le seul but de promouvoir un environnement viable ; un projet ambitieux qui contribue à établir une tradition novatrice de propreté couplée à la dimension esthétique d’une œuvre commune de faire du milieu urbain un cadre de vie motivant et épanouissant.
Le séminaire «La Gestion des déchets organiques à l’échelle locale» organisé à Mahdia, entre dans le cadre du projet «MEDPMCT» financé par la communauté européenne qui, de ce fait, contribue aux activités durables dans les systèmes méditerranéens urbains et avec la participation des partenaires du projet, les villes de Mahdia, Sousse (Tunisie) Lille Metropole (France), Bruxelles (Belgique), Bosra (Syrie) et la collaboration du groupe «Euro Med».
La collecte des déchets organiques, le compostage, la gestion étaient les thèmes essentiellement débattus par diverses personnalités tunisiennes et étrangères. Le programme de ce séminaire «Projet SHAMS» étudie les possibilités de créer à Mahdia des unités de compostage appelées «Plateformes de compostage» à partir des déchets ménagers et des hôtels et impliquer le citoyen, pour devenir «Maître composteur» des déchets de son lieu de résidence, et créer des micro-entreprises dans la collecte des ordures et le compostage. Selon M. Adnène Hamza, adjoint au maire de la municipalité de Mahdia : «Le Projet SHAMS est une suite logique d’un projet réalisé à Mahdia. C’est le projet Med-PACT dans le cadre du groupe Eurocités qui a participé à la mise en place de nouvelles techniques et méthodes de collecte dans la Médina».



Mahdia, cité au passé glorieux, première capitale des Cafifes Fatimides au Xème siècle est bâtie à «fleur de rocher» sur une mince presqu’île, où le charme de la mer, couleur de saphir, ses plages spacieuses, sa médina toujours animée, son histoire, ses sites archéologiques s’accordent pour faire de cette ville une destination privilégiée pour de nombreux Tunisiens et touristes, à la recherche du calme, de la sérénité et de la joie de vivre des moments agréables.
Honorer cette mer donatrice, source de survie pour les pêcheurs, laboratoire de recherche pour les savants et les écologistes, espace de loisirs et de détente, source d’inspiration des artistes plasticiens et poètes par l’instauration du Festival «La Fête de la Mer», est devenu une tradition. Placé sous l’égide des ministères du Tourisme et celui de la Culture et de la Sauvegarde du patrimoine et organisé par l’Association, «la Fête de la Mer» avec l’ étroite collaboration du Conseil du gouvernorat de Mahdia, ce festival ouvre le bal des réjouissances estivales à Mahdia, et ce, à partir du 16 juillet.
Mohsen Boussoffara, président de l’Association, homme de terrain, dynamique, coopératif et fort d’une longue expérience, propose aux habitués de cette manifestation un programme riche, varié, répondant aux aspirations et exigences des adeptes tous âges confondus, où actions culturelles, écologiques, sportives, colloques et animation de la cité, de la plage, de jour et de nuit sont prévus.
En outre, l’art culinaire sera présent par la dégustation du «Méchoui poisson frais» et le concours du meilleur plat traditionnel à base de poisson de Mahdia.
Voici le programme des réjouissances.
Activités culturelles
- Exposition et ateliers d’art plastique
- Concours de peinture pour enfants
- Atelier de recherche «Arabesques»
- Exposition photos «Visions».
Activités écologiques
- Exposition «Ecologie Marine»
- Collecte et valorisation des déchets plastiques
- Colloque : les végétaux aquatiques, diversité, exploitation et valorisation (lieu : fort Ottoman). Le 24-07-2007.
Activités sportives : Plage de la Corniche
- Régate de voile «OPEN»
- Tournoi de l’Amitié-Pétanque.
- Tournoi de Hand Beach et Foot Beach
- Course de barques traditionnelles «Chekif»
- Meeting inter-Maghrébin de natation en eau libre 2 et 5 km.
- Animation «Non stop» à travers toute la ville.
- Promenade en mer à bord de chalutiers
Les spectacles de nuit
17-7-2007 : Hamdène Saïdi (folklore)
18-7-2007 : Gala Moncef Abla
19-7-2007 : Théâtre : Flash-Back.
20-7-2007 : La troupe Ahmed Méjri «Mamma Africa»
24-7-2007 : Raï et folklore algérien Abdallah Manaï
23-7-2007 : Ouled Jouini
22-7-2007 : Folklore avec Med Errouj.
25-7-2007 : Folklore Troupe chinoise

Zardoumi Gheïth - tunishebdo.com.tn